WOuais ! Un tout nouveau jouet dans les mains de Viam !

Viam n'en revenait tout simplement pas... On lui avait donner un arc ! Biensûr, il en avait fait la demande pour l'orsqu'il penssait partir en voyage avec Glandalf, avant sa mort, mais il ne pensait pas qu'après le départ de celui-ci il en aurait un !

Mais peu importe, là, il en avait un et il ne lui restait plus qu'à savoir comment s'en servir... Il parti donc voir comment les gens autour utilisaient ce tout nouveau jouet pour lui... Pour la plupart, cela tenait à tirer sur une corde, y déposer un flêche et atteindre une cible placer plus loin... Rien de dure quoi !

- Bon... ok... j'encoche... je lâche...

Lorsqu'il lâcha la corde, celle-ci vint lui donner un coup, où plutot vint frotter, sur son avant bras. Viam lâcha son arc et se mit à tenir son avant bras à cause de la douleur qui le faisait grimacer, alors que la flêche, elle, était parti en hauteur...

- Non de dieu ! Haaaaa non alice qu'sa fait mal !

Il donna un coup de pied à son arc et recommença son observation des autres qui se pratiquaient... La plupart des flêches allaient se ficher directement dans les cibles ou bien un peu avant ou bien sur les côtés... Il observa ce petit manège durant des heures et des heures, jusqu'au moment où il ni avait plus personne...

C'est à ce moment que Viam décida de recommencer à se pratiquer. Il reprit donc son arc, encocha une flêche à nouveau, visa une cible et lâche de nouveau la corde tout en apréhendant la douleur...

La flêche parti de nouveau en hauteur mais se planta quelques mètres plus loin de la cible. Il était cependant fière de son exploit, tout de même, il n'avait pas eu mal. Il continua ce petit manège durant quelques heures sans jamais atteindre la cible...

- Lâche pas vieux... M'semble qui me faudrait quelque chose de plus motivant... Quelque chose qui m'inspirerait un peu plus... Une cible qui représenterait une... Mais oui Voilà ce qu'il me faut

Viam déposa son arc et parti à la course vers la cantine... C'est qu'il y a plein de cible potentiel et divertisante là-bas !

hrp: lire: in and out dans la partie cantine de Salem avant de lire la suite

Viam arriva au champs de tire avec son petit tonneau et les quelques verre prit à la cantine... En fait, il en avait prit une dizaine. Il ouvrit sa barique, déposa un verre à côté et installa les neufs autres sur une distance à peu près égale et loin au devant de lui... Il regarda ensuite vers le ciel en murmurant:

- Ouais pappy. C'est comme tu m'expliquait avec le chien d'pavlov... M'en va apprendre avec les récompenses Toute les fois où je toucherai une cible, un verre, j'prendrai un verre de pastis à mon tour...

Il reprit alors son arc et visa la cible la plus proche... Et après trois à quatre essaie, il commença à se dire qu'il ferait mieux de remettre le couvercle sur le tonneau, car il va commencer à s'évaporer le pastis !

- Yaaaaaaa

Viam venait de toucher pour la première fois sa cible Bon, il avait eu un léger contretemps, tout léger, car Jésus II était venue lui demander s’il ne pouvait pas aller chercher un cheval ou sud-ouest de Salem.

Viam accepta sans hésitation sauf que Jésus II avait omis d'observer que Viam était légèrement bourré ... En fait, voyant que les flêches tendaient plutôt a allé de chaque côté de la cible plutôt que dans son centre, Viam avait décidé d'entamer le tonneau bien avant de réussir un seul tir. Donc, l'alcool étant ce qu'elle est , Viam voyait plus d'une cible et tirait plus souvent sur les huit autres que sur celle du centre.

C'est alors que Jésus II apparue et lui demanda ce service et maintenant, Viam était de retour pour se pratiquer. Il avait finalement atteint sa cible ! Un beau tir , juste , précis , directe au centre , bon après dix, mais tout de même assez pour le rendre fou de joie

Il se tourna alors pour aller se récompenser d'un pastis mais il se rendit soudainement conte qu'il n'avait pas penser a aller rechercher des verres et un tonneau... Il se tapa alors le front, assez fort pour s'étourdir légèrement, en se traitant d'idiot, car il avait après tout tiré dans une cible !

Il se dirigea donc vers la cantine pour se récompenser lorsqu'il entendit quelque chose déchiré, comme du tissue sur lequel on tire jusqu'a ce que chaque filet se détache d'eux même. Il se retourna et ne vit rien qui semblait ressembler a cela. Il haussa les épaules et s'en alla de nouveau vers la cantine.

C'est alors qu'il entendit un rire... Il était grave et a la fois moqueur, aigu et a la fois sinistre... Un rire qu'il n'associait a aucune personne de Salem. Il se retourna de nouveau, mais cette fois plus rapidement. Il n'y avait encore rien... Mais le rire persistait. Maintenant, il croyait l'entendre de partout... Le son de la déchirure revint, mais plus proche, comme si cela était a côté de lui, a quelques centimètres seulement...

Viam regarda partout autour de lui. Il était maintenant nerveux et il commençait a sué a grosse goutte. Puis, vers la cible qu'il avait atteind, une mince fente noire de deux a trois mètres commençait tranquillement a apparaître...

Viam la regarda s'élargir sans être capable de pouvoir bouger un seul muscle. Son coeur se mit a battre la chamade, les idées dans sa tête se tiraillaient afin de savoir si la peur ou bien la curiosité allaient l'emporter. Un frisson le traversa et il ouvrit grand les yeux lorsqu'une main, ensanglanté, sortie de la fente et se referma su le bord dans le but de l'agrandir encore plus. Après la main, vint la jambe, ne jambe aussi rouge, vermeille, tout en muscle au bout de laquelle un pied veiné et auquel les ongles laissaient place a des griffes... elle se posa avec force sur le sol crevasser…

Nous pouvons dire maintenant que quelque chose, qu’un être venant de nulle part tentait de se frayé un chemin. Son deuxième bras venait d’apparaître et le reste de son corps allait suivre sous peu. Viam avait peine a respirer. La raison avait remporté le combat. Il fallait fuir, fuir sans condition. Fuir sans chercher a comprendre. Le rire se manifestait de nouveau. Un odeur de souffre, de sang, de mort lui montait au narine. La folie ? Non, tout ça semblait trop réelle. La tête allait bientôt sortir et Viam ne pouvait toujours pas bouger. Ses muscles ne répondaient plus aux commandes, pourtant lancer en urgence, de son cerveau !

Un nez, de profile, en forme d’aigle sur le bout duquel du sang semblait couler était la première chose qui se présenta. Une bouche, toujours de profile, fixer en un sourire machiavélique, semblait prendre un malin plaisir a laisser une langue agile, goûter a une liberté nouvelle… Puis, quand la tête fut sortie, elle se pencha légèrement vers l’avant Viam pu voir des cornes pointues allant vers l’arrière… La tête tourna lentement dans sa direction…

Un nouveau frisson traversa le corps tout entier de Viam. La chose, le monstre ou bien encore la bête le regardait. Ses yeux exprimaient une satisfaction, une jouissance et le dévorait littéralement. Une flamme haineuse semblait y briller et dansait d’une telle façon qu’elle hyptnosais Viam-Jork…

L’être était maintenant sorti de cet autre univers et la brèche qu’elle avait créée dans celui-ci, se fermait lentement. L’immondice étira chacune des parcelles de son corps avec délectation. Elle regarda autour d’elle et se dirigea lentement, mais d’un pas ferme, vers un Viam-Jork complètement apeuré, sans force… Rendue a environ 5 pieds de lui, elle le dépassait déjà d’un bonne tête, elle s’arrêta et cessa de sourire. Le regarda et :

- BOU !

Viam fit un saut et trébucha sur son arc qu’il avait laissé tomber sans sens rendre compte. La créature se mit a rire et sauta vers Viam-Jork tel une panthère qui passe a l’attaque. Viam cria de toutes ses forces mais aucun sons ne semblait sortir. La chose allait atterrir sur lui, le tuer, le mettre en pièce mais l’inattendue arriva… Le démon venait de se transformer graduellement en de minces filaments noirs et s’insérait dans chaque orifice de sa tête alors. Viam continua de crier, mais en vain, car il finit par sombrer dans l’inconscience.

Il ouvrit les yeux après un heure ou deux après cet événement. Il était coucher sur le sol et rien ne semblait avoir changer. Le ciel était toujours aussi bleu et le sable jaune. Il n’y avait mais pas une seule de trace au niveau du sol alors qu’une bête de ce poids aurait au moins laisser une empreinte.

Viam se gratta le derrière de la tête et frissonna légèrement. Il se leva tout en prenant son arc et se secoua du sable qui était resté après ses pantalons. Il regarda tout de même autour de lui une deuxième fois pour être sur que rien de tout cela était arrivé.

- Mouais… Croit que j’ai besoin d’un pastis moi

Il se dirigea tranquillement vers la cantine, légèrement anxieux mais tout de même en pleine possession de ses moyens.

Viam était de nouveau devant sa cible… Il n’avait pas pu se pratiquer depuis un bon moment et pour cause ! Al Katel s’étant fait descendre, le départ des Templiers et la mort de Mamy Gway avaient tellement mit la communauté en effervescence qu’il n’avait pas eu le temps de travailler son tire. Il faut dire aussi que sa nouvelle assignation sous les ordres de Mandrin pour ce qui est de faire du Matos l’avait légèrement bourré… Trop da pastis au travail décourage lorsque l’on vient pour tirer… Donc, il n’avait pas bu avant de venir. Il avait aussi peur que sa mauvaise aventure de la dernière fois lui arrive encore. Ce démon sorti d’on ne sait trop où l’avait légèrement traumatisé… Sauf que maintenant, sachant que les Dn’s allaient probablement vouloir se venger, il fallait qu’il se pratique si il ne voulait pas tomber au combat qui probablement viendra un jour.

Il encocha sa flèche et visa la cible au loin… Si au moins il aurait quelque verre de Pastis sous la main… Du moins, ils auraient sûrement fait de meilleur cible que ces cercles concentrique avec pour centre un point rouge… Question de motivation… Quoique… rouge… sa représente bien la tête de Darkjul… Donc, il encocha sa flèche, visa et…

-Comme on se retrouve…

Viam resta figé. Regarda autour de lui, mais les autres qui se pratiquaient étaient tous concentrés sur leur cible… Elle ne pouvait donc provenir de l’extérieur… Il se mit légèrement à trembler.

-Alors mon tout beau. Cela fait déjà un bon moment que l’on n’a pas discuter.

Viam sentit la nervosité monter en lui. Il baissa son arc tout en laissant la flèche encocher.

-Alors quoi… tu ne veux pas me parler ? Tu sais, maintenant que je suis en toi, j’ai presque tout les pouvoirs ?
Viam commença à respirer plus rapidement…
-Mais t’es qui toi ? Ma conscience ? lui demanda t’il d’une voix rauque.
-Humm… non. Mais bon, dit toi seulement que je suis dans ta p’tite tête de pigeon. Alors, évite de parler à voix haute, sa me tente pas de posséder une personne que l’on pense complètement folle !
-T’es quoi alors saloprie ?
-Disont que je suis ce qui est sorti de… comment tu a vues cela déjà… de la fente ?
-Tu… tu… es cette chose qui est entré en moi ?
-C’est qu’il est brillant le petit
-Sort de mon corps !
-Alors la, non . J’y suis et j’y reste ! D’ailleurs, je vais profiter de l’occasion pour te donner un petit avertissement …

Viam-Jork sentit son bras tendre son arc. Il ne l’avait pas remonté pour viser sa cible, la flèche semblait plutôt viser son pied. Il regarda autour de lui avec anxiété, mais personne ne semblait le voir. La sueur commença à couler sur son front et dans son dos.

-Mais qu’est-ce qui se passe ! Je contrôle plus rien !

Un rire dément résonna dans sa tête et sa main lâcha la corde… La flèche parti et traversa son pied ! La pointe en fer se ficha dans le sol alors que malgré sa stupeur, la douleur commença à se faire sentir. Elle montait en lui tel un tsunamie (paix à leurs âmes) déferlant sur les côtes d’un continent. Il voulu crier, mais aucun sons ne sorti. Il voulu se pencher pour aller enlever la flèche, mais ses muscles refusaient de lui obéir.

-Alors, comment on se sent ?

Les larmes vinrent aux yeux de Viam qui ne savait plus quoi faire ! Il avait mal et tremblait, mais rien à faire, il ne pouvait bouger !

-Mon sacrament ! TU VAS ME LAISSER TRANQUILLE !
-Ha ha ha ha ! Tu crois vraiment que tu peux y faire quelque chose ?
-Dieu de dieu que sa fait mal !
-Humm… J’imagine oui… Et encore… si je veux… tu peux souffrir encore plus si cela me plait…
-Connerie !

Viam regardait toujours son pied et ce concentra sur cet objectif. Il ne pouvait peut-être pas agir tout de suite, mais…

-D’accord, j’ai compris. Va falloir que tu me laisses enlever cette flèche par exemple, connard ! Sinon, je te servirai pas à grand-chose si je peux pas marcher ou bien si on est obligé de me couper le pied à cause d’une gangrène qui pourrait si installer !
-Brave petit. C’est bien tout de même de voir que tu peux comprendre vite par moment !
-Va te faire foutre !
(Rire démoniaque)
-Va falloir que tu apprennes la politesse mon mignon …

Viam vit de nouveau son bras se mettre en action. Il prit une nouvelle flèche et l’encocha pour ensuite tendre l’arc. Bien qu’il ne le voulu pas, il mira son autre pied. Il porta un regard suppliant autour de lui, mais rien à faire, personne ne semblait remarquer sa détresse.

-Ok, ok, ok ! Pardonner moi mon très grand manque de politesse… (prononcer avec difficulté) seigneur et maître.
-J’aime mieux ça. Tient, à l’avenir, quand tu vas t’adresser à moi, dit tout le temps cela. J’aime bien être valorisé ainsi.
-…

Ses bras montèrent alors rapidement et laissèrent partir la flèche en direction de la cible, qui se ficha en son centre.

-Va te faire soigner, sombre crétin
-Oui seigneur et maître
-Bien, bien ! On comprend vite.

Viam retrouva l’usage de ses membres et se pencha pour enlever la flèche. Il en brisa l’extrémité au dessus de son pied, pour ensuite lever celui-ci le plus rapidement qu’il pu. La pointe et le bout de bois restèrent au sol alors qu’il parti à courir en direction de l’infirmerie en se plaignant et en jurant comme un bon !

(suite dans le poste: visite médicale )

Viam venait de quitter l'infirmerie et entendait vaguement Jésus, Mandrin, Arkinis et Kalvin parler de son cas et d'un cadenas pour cacher le pastis. Il y faisait très peu attention, car en fait, un sérieux dilleme intérieur se métait en branle dans sa tête...

Mais qu'est-ce que je vais faire ?!?! Plus de pastis pendant trois jours ! Ça veut dire, plus d'ennivrantes pensés, d'étoiles qui bougent, de fantasme ytilique au sujet de...

- De quoi tu te plainds ? Je vais être avec toi moi
- Toi ? J'en ai de la chance moi ! Et si je te disais que je t'en merde royallement ?
- Alors la, on dirait que finallement t'as pas encore compris ! Corniot ! Tu vas finir par m'obéir toi !

Viam arrêta de marcher.

- Tu sais, et comme je te l'ai déjà démontré par le passé, que je peux te contrôler avec aisance si cela me plait.
- Ta geule !
- Au les gros mots ! Regarde, je vais te le démontrer (soupire de lassitude) encore une fois...

Viam sentit alors son pied valide monter à la hauteur de son genoux. Il se tasse légèrement vers son pied invalide...

- Hey ho ! Non ! Fait ça ! Écoute ! Je ne le...
- Il faut te donner un exemple mon vieux ! Faut te le faire comprendre défénitivement !

Son pied descendit et s'écrasa sur sa blessure avec son talon ! Viam ouvrit grandement les yeux ton en poussant un juron à voix haute !

Sous la tente, les discussion cessèrent. Arkinis, Jésus, Mandrin et Kalvin sortirent de sous la tente pour voir un Viam-Jork couché sur le sol en train de prendre son pied invalide à deux mains. Mandrin se dirigea vers lui accompagné de Jésus et de Arkinis. Kalvin, fesait de même, mais rigolais légèrement.

Mandrin: Mais qu'est-ce que t'as fait ? Ça fait à peine deux minutes que t'es sorti et t'as déjà trouver le moyen de te blesser de nouveau ?!?!?
Viam-Jork: Simonak que ça fait mal !
Jésus: Calme toi Viam.
Arkinis: Reste coucher et montre moi ça.
Kalvin: (tout en riant) Faut l'mettre dans un lit et l'attacher ! F'ra pas d'trouble d'même !
Viam-Jork: Me suis enfarger ! Dieu de dieu ! Et bon, en reprenant pied, j'ai mit l'autre dessus quoi !
Mandrin, ainsi que Jésus, se tournèrent la tête pour rire de la maladresse de Viam alors que Kalvin riait déjà de bon coeur.
Kalvin: Haaa le con !
Arkinis: Laisse moi regarder tout ça...

La petite voix dans la tête de Viam revint à ce moment...

- Maintenant tu vas rester polie mon p'tit paillasson ?
- Ta geule !
Arkinis: Pardon ?
Viam-Jork: Non non, rien... Je me parlais mais à voix haute désoler. Me disait juste d'arrêter de me lamenter quoi !

Mandrin ne put retenir son fou rire, tout comme Kalvin...
Mandrin: Désoler c'est juste que...
Viam-Jork: (grognant) Ouais, c'est ça ! Bidonne toi !
Arkinis: Bon rien de grave. La blessur saigne un peu, mais il n'y a rien à craindre. Essaie seulement de faire attention à l'avenir.

Arkinis regarda autour de lui et alla chercher un morceau de bois pendant que Mandrin et Jésus aidaient Viam à se lever. Kalvin commençait seulement à se remettre de son fou rire.

Arkinis: Tient, sert toit de cela. Tu vas utiliser ça comme un canne. Comme ça, tu auras moins de problème avec ton équilibre.
Viam-Jork lui grogna un merci et fit quelque pas avec sa canne de service.
Viam-Jork: Ouais, sa va faire l'affaire.
Mandrin: Bon, tu vas pouvoir te rendre jusqu'à l'atelier ?
Viam-Jork: Ouais pas de trouble, devrait être bon.

Arkinis retourna à l'infirmerie suivit de Kalvin. Jésus et Mandrin regardèrent, pendant un moment, Viam marcher avec difficulté vers l'atelier et retournèrent vers l'infirmerie eux aussi.

La discussion célébrale reprit de plus belle...

- C'est bien ça mon petit. C'est mieux qu'ils sachent pas que je suis en toi. Ils te trouveraient sûrement fou...
Viam grogna quelque chose mais rien de plus.
- Écoute, mon but n'est pas de te tuer ou bien de te faire souffrir tout le temps sans arrêt comme ça. Dans les faits, je n'est besoin que d'une envelope corporelle.
- Pourquoi moi alors ?
- Juste parce que t'es plus facile à contrôlé, c'est tout.
- Mouais... Alors, qu'à tu l'intention de faire de moi ?
- Pour l'instant, je vais en apprendre un peu plus sur ta race. Ensuite, je sais pas... Peut-être partir prendre un autre corps, rester ici...
- Va en prendre un autre.
(rire dément)
- Quand j'en aurais fini avec toi seulement.

Viam ne répondit pas. Il continua de marcher vers l'atelier tout en jurant légèrement, et intérieurement.

Durant son traget, il failli s'enfarger deux ou trois fois, mais il se ratrapa à chaque fois à la dernière minute avec sa canne.

- C'est vrai que t'es pas habille !
- Non mais tu me laisses tranquille deux minutes ? J'essaie de m'habituer la !
- Ouais... tu es aussi vite qu'un paresseux quand il s'agit de prendre une habitude autre que le pastis !
- Haaaa ferme... laisse moi tranquille
Un nouveau rire dément retentit dans son crâne, mais la voix ne rajouta rien.

Viam rentra dans l'atelier. Zutch et Alexandrax étaient en train de travailler. Lorsqu'ils virent Vaim dans cet état ils cessèrent leur travaille et...

Zutch: Hey ! Mais c'est quoi qui t'es arrivé ?
Alexandrax: T'as frappé un trop gros cailloux ?
Viam-Jork: (en grognant) Me suis tiré dans le pied...
Zutch et Alexandrax: Mais comment t'as fait ça ?
Viam-Jork: Longue histoire... Yé où le tamis ? C'est moi qui s'en occupe...
Zutch et Alexandrax se regardèrent et lui montrèrent le tamis au loin. Viam alla dans cette direction et grommelant…

Lorsqu’il s’assit pour commencer son tamis, la voix revint à la charge de plus belle…
-Viam, Viam, Viam… Sourit un peu tu m’inquiètes !
-Ouais c’est ça…
-Aller quoi, un peu de bonne volonté ! Tu peux pas m’extirpé de ton corps, fait avec !
-Mouais… pour le moment je peux pas…
-Regarde… tu es au tamis la. En plus, t’as un beau tonneau de pastis juste à côté de toi que Mandrin veux que tu surveilles. Qu’est-ce que tu peux demander de mieux ? Si tu veux, prend quelque verre question de relaxer.
-Cesse de me tenter… Démon !
-Bon… écoute… Je sais que je te suis apparue sous forme de démon, mais en réalité, ce n’était que pour t’impressionner. Dans les faits, je ne mesure que six pouces de long et mon nom est Boris 6p.
-Par, pardon ?
-T’as tout compris l’cave !
-Et… tu portes de le 6p pourquoi ?
-Et bien… vois-tu… en fait c’est que mon bâton des doux plaisir est, disons le nous honnêtement, dis proportionnelle à ma grandeur.
-Donc, tu es un être difforme qui prend plaisir à prendre possession des corps des autres afin de se valoriser ?
-Viam… arrête d’extrapoler. Je te domine, tu m’obéit et tu fermes ta gueule. Je suis le maître et toi… et bien… t’es rien ! Mon jouet tout simplement !
-…
-C’est ça… fait du tamis. Après, tu iras à la cantine… J’ai soif !
-Non mais tu es sourd ou bien tu fais semblant d’être idiot !

Les coudes de Viam se plièrent d’un coup sec et il ne put éviter le tamis qui vint s’écraser sur son visage ! Il le lâcha par la suite et se mit de nouveau à jurer tout en se mettant les mains devant le visage. Zutch et Alexandrax accouraient dans sa direction, mais il leur fit signe d’une main que tout était corecte…

-Merde ! Arrête de faire ça !
-Juste à rester polie mon p’tit saligaud !
-Dieu de dieu que j’ai hâte que tu partes !
-Pas demain la veille !
-Mouais…

Viam regarda par la fenêtre et vit le soleil aller se coucher derrière la palissade de Salem… Il soupira et se murmura à lui même : La première journée est terminé… Je sens que les deux autres vont être pénible…

(Rire diabolique) Mais non… mais non… (Rire diabolique)

Elle était au-dessus de lui, à cheval sur ses principes, qui plus est , nue. Elle tenait dans ses mains deux grands verres de pastis. Ses seins, ronds et d'une grosseur sufisante pour ne tenir que dans une mains, bougeait au rythme de ses hanches. Ses hanches, elle les faisait aller dans un mouvement de va et vient continuelle qui permettait au pastis de venir éclabousser le visage de Viam. Celui-ci savourait autant cette chevauchade que le pastis qu'il réussissait à avaler. Le rythme augmentait, Viam en avalait toujours plus et lorsqu'elle se mit à jouir, une lumière éblouissante vint alors ainsi qu'un sifflement continue se faisait entendre. Saudainement, il se sentit étoufer par le pastis qui maintenant semblait l'envelopper de toute part et...

Viam se réveilla brusquement, mais sans ouvrir les yeux. Il s'entait quelque chose lui couler sur le visage. Il s'assit, et regarda autour de lui, et au travers les brumes de son sommeil, pour constater que le toit de sa tente était déchirée. De l'eau s'en écoulait et le vent faisait rage à l'extérieur.

- C'est quoi cette merde ! Pu moyen d'dormir tranquille !

Il sortit de sa tente pour voir qu'une tempête faisait rage. La pluie tombait comme des cloues. Il vit quelques éclairs au loin qui tombaient au hasard, comme les flêches qu'il tirait sur les cibles. Cela pourrait expliquer la vive lumière de son rêve... Il regarda sa tente, l'air penaud, et il comprit qu'en défénitive, il ne pourrait pas y dormir cette nuit.

Viam se gratta le derrière de la tête sans trop savoir quoi faire...

- Dit donc, mon p'tit pervers, tu as l'intention de rester planter sur place encore longtemps ?
- Hun ?
- Dans ta tête le cave !
- Haaa... c'est toi... comment déjà... Boris...
- Ouais ! Tu vas encore rester longtemps ici ?
- Bien, faut dire que j'pourrais aller à la cantine faire un tour... Quoiqu'il y a aussi la salle commune... Mais bon... Pas mal de monde qui couche là-bas déjà...
- Bin va à la cantine. Sa m'tente pas trop d'voir mon enveloppe corporel s'chopper une crève parce que le digne propriétaire est trop tarré pour aller s'abriter !
- Non mais ! Tu me laisse tranquille deux minute ? J'étais en train de faire un sublime rêve et voilà que je me réveille dans une marre de sable humide avec de l'eau plein le visage ! Ya de quoi rester ébloui non ?
- Ouais... J'ai bien aimé moi aussi... Je vais d'ailleurs te faire une confidence à ce propos... P'tête que toi tu dormais, mais laisse moi te dire que de mon côté, me suis jamais branler autant l'manche que s'te fois la !
- QUOI ?
- Ouaip ! Une branlette digne de ce nom ! Moi qui tel dit !
- Mais... mais... MAIS JE T'INTERDIS DE TE BRANLER DANS MA TÊTE !
- Haaa la ferme ! J'fais s'qui m'tente ! T'avais qu'à pas fantasmer sur... au juste, c'est cette salope ?
- Heu... sais-tu... suis confu la... J'm'en rappelle tout simplement pas... Faut dire qu'elle avait deux verres de pastis dans les mains qu'elle me renversais sans cesse dans le visage. Ce qui, tu t'en doutes, m'aveuglais passablement.
- Que tes con ! C'est un rêve ! Tu aurais pu décider de pas en avoir dans la face et tu saurais qui s'était !
- Mais...
- Mais disont que tu m'impressionne pas trop trop hein !
- Haaaa et puis merde !

Viam regarda autour pendant que l'être qui l'habitait ne cessait de l'abreuver d'insulte. Il était trempé des pieds à la tête en plus d'avoir froid à cause de ce vent. Il pensa quelque seconde à l'emplassement de la salle commune et décida que finnalement, la cantine était plus près. Il partit donc d'un pas décider, quoique boitant et avec sa canne, en penssant que lorsque cette tempête sera fini, il ira voir les artisant afin d'avoir quelque chose pour la recoudre. Mais pour l'instant, le parasite était encore sur sa litanie...

- P'tit con remplis de pestinence ! Face de furoncle ! Débile ! Branleur ! Bouffeur d'anus ! Le tient en plus !
- Non sa c'est pas possible...
- Non ?
- Non
- Pourquoi ?
- C'est dû à mes côtes flottantes. Les dernières dans le bas. On ne peut pas se pencher au point de se bouffer l'anus ou bien pour se faire une pipe.
- Alors la... laisse moi te dire que vous êtes pas chanceux !<
- Que tes dégeulasse !
- Bah quoi ? Moi j'dis: Pourquoi attendre après les autres ? Fait le toi même et le plaisir serra double !
- Mouais... Reste que tout de même, c'est mieux quand c'est une donzelle qui te le fait.
- Comment tu sais p'tit prétencieux ? T'es pourtant un connard de vierge !
- Et alors ?
- Bin, tu sais même pas ce que sa fait. Donc, comment peux-tu affirmer ces faits ?
- Heu... C'est mon papy qui me la dit ?
- Ton papy, c'est un connard.
- Ferme ta putain de grande geule du con !

Lorsque Viam mit son poid sur sa canne pour avancer, il sentit son pied, qui avait le bandage, la frapper. Il poussa un cri de douleur tout en tombant face première contre le sol. Ce qui du même coup, remplis sa bouche pleine d'une boue fisqueuse.

- Respect mec. Tu restes polie avec moi p'tit polisson.

Viam se mit à genoux et se mit à cracher. Il resta ainsi pendant un moment, du moins, le temps qu'il fallait pour cracher ce ramassis de terre mouiller. Par la suite, il se releva à l'aide de sa canne et se dirigea de nouveau vers la cantine.

- Aller l'écloper ! Avance !
- Écoute... Lâhce moi les couilles ! Suis fatigué, j'ai soif et tu me tombe royallement, mais royallement sur les nerfs !
- Et ? C'est supposé me déranger ?
- Oui. Et tu pourrais même te taire au grand seigneur et maître des chiottes de la folie passagère d'une troupe de mamouth qui ont la gatro anale !
- ...

Viam resta sur place un moment, légèrement surpris. La voie s'était éteinte alors qu'il l'avait insulté, mais rien ne se passait. Pas même un croque jambe... Étrange penssa t'il... Mais il reprit tout de même sa marche, car la pluie tombait toujours plus forte alors que le vent redoublait de puissance.

Il arriva à la cantine lorsque le vent et la pluie étaient au plus fort de l'orage. Il poussa sur la porte, mais celle-ci semblait être barrer.

- Mais c'est quoi ces conneries ? Jamais été barrer cette porte !

Ça doit être Mandrin, pensa t'il, qui dans un ecxes de protection, devait l'avoir barrer lorsqu'il était parti se coucher afin que lui ne puisse pas venir en cati mini prendre du pastis. Cela le fit rire quelque peu... Mais bon, il pleuvait, il n'avait plus de tente... Il fallait prendre les grands moyens... En plus, il se rappelait que la porte n'était pas aussi épaisse qu'elle le paraissait... Il se recula quelque peu pour prendre son élan et courra du mieux qu'il le put pour défoncer cet obstacle avec son épaule.

La porte céda sous son poids et tomba au sol, Viam suivit la même trajectoire et perdit le souffle. Se mit à quatre pattes avant de se mettre à genoux pour reprendre son souffle.

- Tu vois que tu fais de la belle job quand tu veux !
- Mouais... Va être obliger de réparer ça demain... Hâte de voir la geule de Mandrin tient... hehehe
- Ouais... Dit donc... c'est ici l'antre du pastis ?
- Oui. Il y en a là-bas, mais Mandrin a mit un cadenas dont je n'arrive pas à en trouver la combinaison...
- Ouais, je sais, j'étais là du con !
-...
- Dit donc... Une patte de table... avec un bon élan... sa doit sûrement pouvoir briser un cadenas non ?
- Sûrement
- Alors arrache moi z'en une et on va aller se farcir un tonneau, question de se mettre en forme !
- Non
- Comment ça non ? Simonak ! T'en rêve depuis une journée et une nuit !
- Ouais je sais ! Mais bon... c'est quand même pas corecte de faire ça !

La main droite de Viam vint le gifler avec force !

- Mais on se fou de ce qui est où non corecte ! Je te donne ordre, obéit ! Un point c'est tout ! Sinon c'est dans les burnes que je fou une claque la prochaine fois !
- D'accord, d'accord !

Viam renversa la première à porter de sa main et brisa l'une de ses pattes...

- Bordel... Mandrin va me chier dessus ! Va geuler comme un bon le mec !
- M'en christ... tient... un p'tit jeux de mots avec ton illuminer ! Pas pire quand même non ?
- Non, vraiment pas.
- Arf ! T'as pas le sens de l'humour toi !
- Pas toi qui parlait de respect tantôt ? Alors ferme la.
- Au mais... c'est qu'il est chatouilleux le petit !
-...

Viam se dirigea vers le porte du fond, apès laquelle il y avait un cadenas... Étrangement, le cadenas semblait différent, mais bon, il n'y fait pas trop attention. Il allonga les bras au-dessus de sa tête et frappa de toute ses force. Le cadenas céda et la porte s'ouvrit...

Il s'ouvrit sur la salle au trésor. Un, un seul tonneau siégeait avec grâce en son centre. Il était ouvert, le couvercle était au sol à ses côtés et Viam sentait déjà le pastis couler dans sa gorge. Il le voyait là, devant lui, l'air tout à fait innocent, sensible à ses désires. Il était là, l'attendant, râvissante chose que les dieux avaient su donner, dans leur immence grâce, la recette de sa fabrication...

Viam était figé dans l'embrassure de la porte, ne sachant pas trop quoi faire... Il avait un dilleme en lui... Ce noyer dans ce doux plaisir ou bien rester sage comme lui avait recommender Arkinis... Ses mains tremblaient de désire... Sa bouche s'assécha... Il avait extraordinairement chaud ! Il dégluti pour finnalement sucomber à la tention de s'ennivrer jusqu'à ce que mort s'en suive !

Il couru en direction du tonneau avec la folie plein les yeux ! Arriver à son bord, il regarda au tour pour un verre, mais décida qu'après tout, il n'aurait qu'à y plonger la tête ! Il ferma les yeux, prit une grande respiration, ouvrit la bouche et plongea sans perdre une seconde de plus !

Lorsqu'il avala le pastis, il se rendit compte que son goût était fade... Sans aucune saveur... Il releva la tête intriguer puis renifla le liquide... Non... Ce n'était définitivement pas du pastis... Il sentit alors quelque chose tomber régulièrement sur sa tête... Viam leva alors la tête pour constater qu'un trou béant lui laissait entrevoir les nuages de la tempête... Il regarda de nouveau le tonneau et lorsqu'il comprit que ce n'était qu'un tonneau d'eau, il se raidit et se mettant la mains sur la bouche et tomba dans les pommes...

Quelques minutes plus tard... Sa main droit se leva, le prit par la tête, la tira vers pour qu'il soit assis. Elle prit une meilleur poigne en serrant un plus grand nombre de cheveux, et tira de nouveau vers le haut jusqu'à ce qu'il soit debout, quoique légèrement déséquilibrer.

- Putain que tes con toi ! TU sais pas faire la différence entre un tonneau d'eau de pluie et pastis ! Aller... avance...

La main, qui était rester accrocher au cheveux, fit tourner VIam et le tira vers l'avant jusqu'à temps qu'il soit rendu dans la salle principale de la cantine. De là, elle le tira jusqu'à une chaise et le laissa s'effondrer sur celle-ci alors que le front alla cogner durement la table.

- Pas du beau travail ça hein ? Bon... Pense qu'il est parti pour la nuit... Mais tient, tient, tient... Qu'est-ce que je vois la ? Sa s'rait pas sa pute de tantôt ? Pense que j'vais m'faire une branlette moi !

La nuit passa et Viam se réveilla au petit matin, sans vraiment se rappeller ce qui s'était passer avec le tonneau, que de vagues images sans plus. Le ciel était encore nuageux, mais le vent semblait avoir tomber. Il se leva et se dirigea vers la sortie en se rappelant de dire à Mandrin qu'il avait défoncer sa porte et qu'il la réparerait plus tard dans la journée. Rendu à l'extérieur, il prit une grande respiration... Une autre journée d'abstinance allait commencer et il n'avait qu'hâte d'aller se recoucher pour rejoindre sa belle au visage masquer, mais surtout, au pastis bien rempli !

(Ne pas oublier que seul Viam-Jork entend Boris 6p et que l'écriture en italique sont les réponses de Viam dans sa tête et pour Boris )

Viam qui avait : la pelt (désoler pour l'autho.), la scie et les restant de clous de l'usine dans ses mains, marchait en direction de l'atelier afin d'aller s'assir à son poste, le Tamis. Un travail essentiel qui permet de prendre que la bonne camelote afin d'en faire une matière digne de ce nom. Elle aide par la suite à la construction des bâtiments ainsi qu'à leur rénovation. C'est pas comme la pioche... À la pioche, il faut creuser le sol afin de retirer cette camelote mentionné plus haut. C'est un travail, qui physiquement, en demande beaucoup plus que le tamisage.

Revenont à nos moutons...

Donc, Viam marchait avec ses outils, car il revenait de la Cantine. Il avait été réparer la porte d'entrée ainsi que l'autre qui menait au tonneau. Il se demandait encore qui avait bien pu défoncer celle-la ... Lorsqu'il eu fini, il discuta quelque peu avec Wern qui finissait son déjeuner et parti par la suite pour l'atelier.

Il marchait depuis un bon moment lorsque la voie se fit entendre de nouveau...

Boris 6: Jeee suis le maître qui cause à son esclave !
Viam-Jork: Qu'est-ce que tu veux ?
Boris 6p: Moi ? Rien... Simplement te rendre la vie plus compliquer me convient emplement !
Viam-Jork: Mouais...
Boris 6p: Dit donc, du con, t'as plus t'as canne ?
Viam-Jork: Tient... non... J'avais même pas remarquer... Faut dire que sa fait moins mal aussi.
Boris 6p: Hey ! Mais regarde à gauche ! Look at that ! Hooooooo god ! Niiiiiice ass !
Viam-Jork: Hein ? Quoi ? Qu'est-ce que t'as dit ?
Boris 6p: Regarde à gauche et visionne moi ce cul d'enfer ! Sa s'tient bien, sa l'a de belle forme... Pense que m'en va prendre le contrôle de tes mains et de tes pieds tient... Fait longtemps que j'ai pas tenue un jolie p'tit cul bien dodu et digne de ce nom dans mes mains !

Viam se tourna la tête sur la gauche avec nervosité. Ce qu'il pu voir à ce moment le rendit blanc de la tête au pied. Boris 6p venait de lui proposé de prendre le derrière de Lise alors qu'elle discutait avec Deckard...

Viam-Jork: Non mais t'es malade ! Lise va me couper les mains avec le hachoir de la cuisine ! Elle va me déssouder la tête avec une pioche et ne parle même pas de ce que Deckard pourrait me faire ! C'est un non, non et non catégorique ! En plus, c'est mes mains et non les tiennes !
Boris 6p: Pardon ? Tu ose me dire non, à moi ? Le plus grand et gros 6p de tout les Boris !
Viam-Jork: Ouaip ! Je te l'interdis même ! Ils vont m'arracher l'bras et vont m'battre à mort avec le moignon !
Boris 6p: Tampis pour toi alors !
Viam-Jork: Dieu soleil ! Un peu de pitié quoi !
Boris 6p: Tu suces pas assez bien pour que j't'accorde un temps soit peu de pitié !

Les bras de Viam-Jork se levère dans les airs, en laissant tomber les outils, et prirent un position de 90 degré vers l'avant alors qu'il fit un premier pas dans la direction de Lise et de Deckard.

Viam-Jork: Nooooooooooooooooooon

Viam entendit alors retentire dans les couloirs caverneux de son cerveau, le rire infernale, pour ne pas dire satanique, de Boris 6p. Il fit un deuxième pas dans leur direction, ils ne l'avaient pas encore repérées et Viam priait silencieusement qu'ils s'en iraient le plus loin possible de sa personne.

Un troisième pas se fit de nouveau dans leur direction. Deckard et Lise discutaient toujours. Le rire de Boris ne cessait pas, au contraire, il semblait à Viam qu'il venait maintenant par sacade tel des vagues qui s'échouaient sur la plage...

Un quatrième pas... Viam commençait à avoir sérieusement chaud, il se rapprochait d'eux et il commençait à croire que sa dernière heure allait venir ! Cinquième pas. Deckard vit Viam apparaître dans son champs de vision. Son visage prit des traits interrogateurs en le voyant marcher ainsi, mais il le salua tout de même en souriant...

Deckard: Viam ! Alors, t'as trouvé t'as clef ?

C'est alors que Lise se tourna et lorsqu'elle le vit à son tour, elle fixa Viam-Jork en se demandant qu'est-ce que ce poireau allait faire comme bêtise cette fois ci... Sixième pas... Viam-Jork vint pour leur crier de foutre le camp, mais aucuns sons ne sortaient de sa bouche. Au septième pas, le rire devint plus ironique, sarcastique, mauvais ...

Deckard: Viam ? Mais qu'est-ce que t'as à marché comme ça ?
Viam-Jork: ...
Lise: Tu crois qu'il est prit de zombinisme ?
Deckard: Je ne penserais pas, non. C'est pas leur démarches habituelle... Il est peut être virer fou ?
Lise: Ouais... Tout est possible avec lui...
Boris 6p: Putain les plombs ! Woua ! J'vais m'régaler comme jamais ! Trop hâte de lui voière la face !
Viam-Jork: Dieu de dieu que je vais avoir mal !
Deckard: T'as pas tord... Il paraissait pas mal étrange ces temps ci.
Lise: Plutôt normal. Il buvait et cuvait matin, midi et soir ! La, il n'a pas but depuis trois jours. Sa devrait lui faire du bien normalement...
Deckard: Pas si sûr en le voyant comme ça, vite de même, que sa lui fasse tant de bien que ça...
Viam-Jork: Non mais lâcher moi avec le pastis bordel ! Fouter l'camps c'est tout ce que je demande !

À présent, seulement quelques pas le séparait de Lise et de Deckard. Quatre, tout au plus. Il suait à grosse gouttes. La nervosité gambadait joyeusement en lui alors que la fraîcheur de la peur lui serrait le coeur à l'aide de sa main de glace. Il était à un pas de se faire brasser la cage, secouer les puces, fendre la poire en deux, attacher les poils de la tête aux poils du cul et de se faire rouler jusqu'au bas de la rue ! Il ferma les yeux et serra la mâchoire dans l'attente des coups qui allaient bientôt pleuvoir sur sa pauvre et frêle personne...

Vous savez tous comme moi que l'attente est quelque chose qui aime bien jouer avec le temps. Parfois 15 à 20 minutes qui paraissent comme des heures alors que pafois, il arrive que l'on attende plus longtemps sans s'en rendre compte. Cela resemble un peu au cas de Viam-Jork. Il attendait le coup venir... Il attendait sans respirer, sans ouvrir les yeux... Il attendait depuis un bon moment déjà, du moins, jusqu'à ce qu'il entende Lise...

Lise: Viam ?

Viam-Jork ouvrit un oeil lentement, incertains, avec la peur de voir les yeux rageurs de Lise et les point de Deckard... Ses mains étaient à quelques pouces des seins de Lise, mais il avait cesser d'avancer. Il tenta de plier ses bras, ce qui à sa surprise fonctionna. Il regarda ses mains en clignant des yeux, ne comprenant tout simplement pas pourquoi Boris 6p n'avait pas été jusqu'au bout...

Lise: Viam... Est-ce que sa va ?
Deckard: Ouais... Tu à l'air d'être légèrement bizarre...

Viam-Jork les regarda en clignant des yeux et souria comme un imbécile pour ensuite se mettre à rire !

Deckard: Il est fou !
Lise: Vite, va chercher Arkinis !
Viam-Jork: Non (rire) c'est corecte (rire) sa va aller (rire)
Deckard: Tu es sûr ?
Viam-Jork: Oui (rire) oui (rire)

Lise et Deckard se regardèrent et finirent par hausser les épaules incertains et décidèrent de partir.

Lorsqu'ils furent hors de porter de vue, Viam-Jork s'assit sur le sol et commença à reprendre un peu son souffle après cette crise de fou rire...

Viam-Jork: Pourquoi tu as arrêté ?
Boris 6p: Hun ? C'est à moi que tu parles ?
Viam-Jork: À qui d'autre ! Que je sache, ya pas toute un armada qui habite ma tête !
Boris 6p: Ouais, que tu saches, mais d'après ce que je peux voir, je suis pas le seul !
Viam-Jork: Quoi ?
Boris 6p: Bah, sa ne me tentais plus d'y prendre les pastèques.
Viam-Jork: Change pas de sujet !
Boris 6p: Oublie pas vieux... Je fais ce que je veux de toi... Baisse d'un ton si tu veux pas te retrouver à poil et courir dans tout Salem vêtu de ta tenue d'Adan !
Viam-Jork: Heu... ouais... Pourquoi t'as dit que t'étais pas tout seul ?
Boris 6p: Bien... Ya cette salope qui habite t'as cervelle qui m'tiens compagnie et j'pensais aussi qu'il avait assez de place ici pour que j'invite quelqu'un d'autre...
Viam-Jork: Nenon ! Ya pas de place pour d'autre dans mon crâne.
Boris 6p: Si, si yen a tout plein ! Ton petit pois prend pas toute la place, même très peu je dois dire... Vais faire venir un de mes potes... C'est que je m'ennuie moi ici ! Ya même pas de quoi s'faire un étincelle pour m'faire un feu !
Viam-Jork: Bordel ! C'est ma tête ! Normal que tu puisses pas y faire un feu !
Boris 6p: ...
Viam-Jork: Boris ? T'es là ? Je te défends d'introduire quelqu'un d'autre dans ma tête !
Boris 6p: ...
Viam-Jork: Merde, merde et remerde ! Sur ce, Viam-Jork se leva et s'en alla à l'atelier.

Il s'y rendit inconvénient. Il pouvait voir Mandrin, à l'entré de l'atelier, qui l'attendait en tapant du pied avec nervosité.

Mandrin: T'en a mit du temps à réparer un foutue porte ! Alors, t'as décidé de prendre un pause ?
Boris 6p: Ta geule !
Viam-Jork: Heu... non... c'est que... je... devais combattre mon envie de pastis et j'ai prit une marche pour me calmer les esprits...
Boris 6p: C'est pas con comme escuse ça...
Mandrin: Mouais... La prochaine fois, essaie de pas trop te promener. On a de l'ouvrage à complèter.
Viam-Jork: En parlant d'ouvrage... Dérangerais pas que je finisse un peu plus tôt aujourd'hui ?
Mandrin: Putain Viam ! Déjà que t'es parti une bonne partie de la journée ! Tu veux qu'en plus je te laisse partir plus tôt ? Mais sa va pas quoi ?!?!
Viam-Jork: Bien... c'est ma dernière journée de seuvrage et je penssais que tu serais un brin compatissant en me laissant aller fêter cela plus tôt que prévue quoi...
Boris 6p: T'es tordu toi... Tu joues avec les sentiments... Pas mauvais comme technique ça... P'tête qu'ce crétin va t'laisser partir tout compte fait.
Viam-Jork: Ta geule !
Mandrin: Mouais... Il a dit trois jours Arkinis... Pense pas que tu puisses boire ce soir...
Viam-Jork: Aller quoi ! J'ai quand même résister pendant tout le reste du temps ! (supliant) Laisse moi aller m'abreuver mec ! J'en ai de besoin ! Sérieusement de besoin !

Mandrin regarda Viam-Jork dans les yeux pour évaluer ses dires...

Mandrin: Je vais te laisser partir quand le travail sera fini. Après... et bien... disont que je vais oublier d'aller fermer la cantine ce soir...

Viam-Jork souria de toute ses dents et ne pus s'empêcher de crier un Hourra bien fort pour exprimer sa joie.

Boris 6p: Que tes con toi !
Mandrin: Mais là, rentre et va faire du tamis.
Viam-Jork: Con mais heureux ! Merci bin vieux !

Viam-Jork suivit alors Mandrin qui rentrait à l'intérieur. Il alla s'installer au tamis et regarda de nouveau Alexandrax dans son jolie cuissard...

Viam-Jork: Sa va boière à soière !
Boris 6p: Ouais pas mauvaise idée sa !
Viam-Jork: T'as tout à fait raison ! La meilleure que j'ai eu depuis un bon moment !
Boris 6p: Devait faire longtemps ça !
Viam-Jork: Haaaa ferme la !

Ses bras se plièrent de nouveau et il reçut le tamis en plein visage !

Viam-Jork: Outch ! Bordel de merde !
Alexandrax: Sa va ?
Viam-Jork: Ouais, ouais... tique nerveux...
Boris 6p: C'est ça oui...
Viam-Jork: Arrête de faire ça !
Boris 6p: Reste polie

Viam-Jork grogna quelque chose d'intelligible alors que Alexandrax retournait à son travail.

Le restant de la journée passa sans inconvénient. Il n'y avait que l'attente qui devenait insuportable, mais quand enfin Mandrin annonça que le cota du jour avait été atteint, Viam-Jork se leva, et sans regarder personne, partit d'un pas décider vers la sortie.

Viam-Jork: Salut tout le monde. J'men vais m'farcir une cuite qui restera à jamais marquer dans les anales de Salem.

Avant que quelqu'un ne puisse répliquer quoi que se soit, Viam était déjà dehors et se dirigeais maintenant vers la cantine et au pas de course !

(Suite cantine, titre: en soirée )

(Boris est dans la tête de Viam-Jork. Seul Viam-Jork peut entendre Boris. L'écriture en bleu signifie que Viam-Jork répond à Boris, mais dans sa tête.)

Viam-Jork, à cheval, était sur une dune et il pouvait voir les formes de Salem au loin.

Viam-Jork: Mouais... Pas fâché d'être arriver. Déjà que Cléôpatre est arrivé avant moi ! Des plans pour qu'elle est prit tout ce qui avait à boire dans la place !
Boris 6p: T'as qu'à t'en vouloir pauvre cloche ! Tu aurais pu l'abreuver pendant tout le voyage, mais non ! Monsieur a fait le comique !
Viam-Jork: L'abreuver ? Mais qu'est-ce que tu racontes ? Elle avait assez de flotte pour se suffir à elle même.
Boris 6p: Écoute mon ti-n'homme. Va falloir que tu comprennes que tu peux abreuver des femmes avec ton amas de peau sous ta ceinture. Tu leur fou le tout dans la geule et elles en tirent le p'tit jus ! Pis après, vue que le tout a bien été tiré, tu le lui fourre dans l'c...
Viam-Jork: Ccccc'est beau ! Pppppas besoin d'en savoir plus.
Boris 6p: Agit alors simonak ! Sinon, j'te jure que j'te fais fourrer une jument !

Viam-Jork regarda la crinière de son cheval et s'imagina un instant en train de se le farcir... Il grimaça, secoua la tête et tapa dans les flancs de l'animal pour que celui-ci avance.

Il était curieux de revoir Salem. Des nouveaux étaient arrivé et Darkjul, le tirant du désert, était mort devant la porte de la cité. Les gens avaient sûrement changer... Lise... Elle était enceinte maintenant.

Boris 6p: Parle moi zen pas ! Un mioche qui va être élever par un tirant ! Une femelle qui possédait un beau cul ! J'dis bien possédait, car la... Elle doit l'avoir aussi large que la porte de la ville ! Pauvre enfant... Fils d'una Tirante geulante au cul bigrement blablablalbal

Viam-Jork n'écoutait plus Boris 6p. Il regardait Salem qui au loin se rapprochait. Bientôt, il franchira la porte, ira à la cantine, demandera un pas... verre d'eau et ensuite, discutera avec tout le monde.

Boris 6p: Et la, je la lui met au cul ! Elle va geuler comme un bonne ! Hey ! Tu m'écoutes ? Pauvre locque humaine ?

Il demandera peut-être à être muté dans un autre groupe que celui des métalos...

Boris 6: Hey hoooo ? Le zouave de service ? Mon p'tit tabarnak ! Tu m'écoutes pas hein ? Vais te montrer moi s'que sa fait de pas m'écouter !

Peut-être qu'aller avec celui des puiseurs ou bein celui-de la préparation de la bouffe...

La main droite de viam se leva et alla gifler le derrière du cheval. La monture se cabra et viam perdit les reines. Lorsque le cheval parti au galot, Viam se sentit glisser lentement vers le dessous du cheval...

Viam-Jork: Nooon ! Noooooooooooooooooooon !
Boris 6p: Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Mouhahahahahahahaha !

***

Quelques heures plus tard, un cheval rentra en ville. Une forme était accroché en dessous de l'animal. Lorsque l'animal fut siffusament avancer dans la cité, la forme lâcha prise et tomba sur le sol...

Viam-Jork: Kuf, kuf, kuf ! (cracha sur le côté, se frotte les yeux) Kuf, kuf, kuf... Jésus ! Quand va t'on avoir ces putains kuf,kuf,kuf de véhicule ! Moi, les chevals, vais me les farcir en steak maudit christ d'ostie faut prê...(ouvre les yeux) Oups ... Salut tout le monde...

Salut Viam ca faisait un moment alors bien ce voyage???????????????????
et ta cure tu as tenu c'est bon??????????????????

quoi de beau depuis le temps ???????????????

et heuereuse de te revoir au fait toujours aussi adroit avec les chevaux

Viam-Jork: Kuf, kuf, kuf... Ouais... Foutue cheval à la noix ! (Hénissement du cheval) Ils se mettent à partir comme des flêches pour une petite claque sur la fesse droite ! Bête innocente !
Boris 6p: Pétasse va ! Vient que j'te chauffe les fesses moi ! L'canasson, il va se le farcir entre les fesses oui !
Viam-Jork: Ferme la... On a quand même miss Salem la devant nous.
Boris 6p: Raison de plus pour les lui chauffer tient !
Viam-Jork: (soupir) Ouaip. Bien ce voyage. On a bien aimé. Ya cléopatre qui m'a aider à pas trop me perdre et j'ai aussi aidé Mace Windu à rentrer en ville... lol... Dire que la première fois, je croyais lui avoir fait notre échange et en fait j'étais parti avant ! (léger problème technique ) Trop de soleil sur le crâne sûrement... Pour ma cure... Bin oui j'ai tenue bon... Voyont, tu doutes ? Vite comme ça, y doit rester un peu de ce breuvage aniser quelque pa... Heu... T'as pas un peu d'eau, j'ai un brin soif !

Eva lui tendit une gourde qu'elle avait à porter de main...

Viam-Jork: Alors (glou, glou,glou) ton rôle de miss Salem semble bien aller non ?

( Boris 6p est dans la tête de Viam-Jork et seulement lui peu l'entendre. L'écriture en bleu est une réponse que Viam-Jork adresse à Boris, mais dans sa tête)

Viam-Jork : Bon… Me revoilà parti dans l’désert ! Même pas eu le temps d’aller prendre une p’tit chotte de verre d’eau à la cantine que je suis reparti m’assécher l’fond d’la gorge sous cette putain d’boule de feu !
Boris 6p : Ta geule. T’avais qu’à lui dire non à ce con de Jésus !
Viam-Jork : Sais-tu ce que c’est qu’un con ?
Boris 6p : Ouais ! C’est quelqu’un qui te ressemble, mais qui est plus intelligent que toi. Parce que dans ton cas, on dit un : CHRIST DE CAVE !

Viam-Jork se mit légèrement à rire avant de poursuivre sa communication interne.

Viam-Jork : Ouais, c’est ça. Mais bon, je n’étais pas pour lui dire non ! Comment dire non à un homme qui court dans votre direction en scandale presque fini et avec une barbe assez longue pour s’enfarger dedans ? En plus, y’avait urgence la.
Boris 6p : Complètement faux mon p’tit bonhomme ! La seule urgence qu’il y a en ce moment c’est de tremper ton pinceau dans une de ces bonnes femmes à Salem et d’ensuite entendre leur lamentation ou bien encore mon nom… Dieu ! Gnack, gnack, gnack...
Viam-Jork : Ta geule. Si t’es Dieu, on est sacrément mal barrer moi qu’il dit ! Peu importe… La faut surveiller le troupeau et ce putain de Ramone… Il n’arrête pas de pencher la tête pour je ne sais quel raison… J’espère qu’il n’essaie pas d’écrire son article pour le journal en même temps qu’être à dos de cheval… Arf ! J’aimerais bien voir l’écriture que sa donne tient…
Boris 6p : Crétin ! On s’en fou ! Va enculer une fille de Salem que j’te dis ! Tient la nouvelle, beau genre ça ! Beau cul. Belle geule. A l'a s'qui faut à la bonne place quoi !
Viam-Jork : Qui ça... Baby-Belle ?
Boris 6p : Ouais. Elle a du chien. Une geule du tonerre et un cul qui sert à autre chose qu’à chauffer les bancs d’un bureau !
Viam-Jork : Mouais… Elle a aussi un caractère qui semble tirer sur le cochon plutôt que sur le docile. Du genre Lise, mais en plus physique… Encore heureux qu’elle n’est pas son caractère ! Quoique depuis qu’elle est enceinte, elle s’est adoucie…
Boris 6p : Une peau de vache est toujours plus douce après utilisation.
Viam-Jork : Tu pousses un peu la. Elle parler plus fort seulement parce que Salem et le monde à l'intérieur lui tienne à coeur. Voilà tout. Tout de même... Pour en revenir à Baby Belle. On sait pas non plus ce qu’elle a fait, quoi qu’en y pensant bien, sur les ondes on en raconte des vertes et des pas mûres…
Boris 6p : Mais on s’en fou du con ! C’es son cul qui est prêt à recevoir des bites, le reste, on chie dessus !
Viam-Jork : Haaaa ferme la ! Tient… Fait longtemps que j’ai pas été écouté les ondes publiques...
Boris 6p : Gnack, gnack, gnack… Moi aussi… Gnack, gnack, gnack... Moi ausssi...

- je suis contente pour toi si tu tiens car ca a pas du etre facile

pour mon rôle oui ca va je vais même etre interwiewé par galina je crois... je ne comprends toujours pas trop pourquoi moi .... je ne pense pas forcement plus le mériter que les autres filles de Salem , je suis flattée mais toujours un peu dans le flou..... mais maintenant je ferai tout pour tenir le role qui m'a été confié

(Boris est dans la tête de Viam-Jork. Seul Viam-Jork peut entendre Boris. L'écriture en bleu signifie que Viam-Jork répond à Boris, mais dans sa tête.)

Viam-Jork se secoua quelque peu et regarda Eva.

Viam-JOrk: Bin faut dire qu'tes souvent là pour encourager l'monde. Prête à aider. En plus, j'aurais pas vue Lise en miss Salem. Non pas parce qu'elle a le ventre bien remplis... Mais le caractère ! (Viam secoua la main gauche dans les airs)

Puis Viam il eu les yeux vident, un air absent, pendant un moment.

Boris 6p: Gnack, gnack, gnack ... Tu l'as dit pauvre cloche ! Encore heureux que Deckard lui permette de s'défouler sur lui ! Me demande si ya pas des traces de griffes dans le dos quelque part... Falloir checker ça...

Viam-Jork: Mouais... heu... Pardon... Perdu dans les vapes. Pour ce qui est d'la boisson... Arf ! Pour sûr que c'est pas compliqué d'être prit dans le désert sans boisson à des milles ! Honnêtement, la, j'me ferais bien une rechute moi...

Viam-Jork se licha les lèvres et eu de nouveau cet air absent...

Boris 6p: Ouuuaaaiissss... Un grand verre, plein, à ras-bord, de pastis. D'quoi te réchauffer les entraille. Tu le sens descendre dans ta bouche ? Miam, miam, miam ! Me demande ce que tu fais encore ici triple idiot !

Viam-Jork se secoua la tête et souriat bêtement.

Viam-Jork: Heu... tu disais déjà ?

- Oui mais il n'y avait pas que Lise et moi qui participions , mm si je continue à dire que je ne me suis pas présentée moi

et pis elle a pas si mauvais caractère que ca je trouve moi elle est très gentille et en plus elle fait bien plus pour Salem que moi !!!



par contre je ne sui pas d'accord si ton séjour dans le désert t'a pperis de ne plus penser au pastis ce n'est pas pour replonger dès que tu rentres à Salem !!!!!! Ca serait vraiment du gachi il faut continuer sur ta lancée...
Allez ok pour le pomodor

c'est pas parce qu'elle est gentille et qu'elle fait beaucoup pour Salem qu'elle a pas mauvais caractère la Lise.
Mais bon, il faut la ménager en ce moment , on va dire qu'elle a un caractère affirmée et que les types de Salem ont qu'à bien se tenir .

En entendant la conversation, Lise faillit répondre vertement un truc du genre "Comment ça j'ai mauvais caractère !?". Mais elle s'arrêta dans sa lancée, brusquement consciente que ce ne serait pas vraiment faire preuve de calme et de douceur... Alors elle passa au milieu des bavards avec un grand sourire et un silence victorieux !

vous voyez c'est bien ce que je vous disais , elle est adorable Lise

(Boris est dans la tête de Viam-Jork. Seul Viam-Jork peut entendre Boris. L'écriture en bleu signifie que Viam-Jork répond à Boris, mais dans sa tête.)

Viam-Jork regarda Lise passer avec apréhension, mais respira quand il la vie continuer son chemin...

Boris 6p: Gribiche !
Viam-Jork: Ta geuuule ! Elle va t'entendre ! Comme disait mon papy: " Le calme après la tempête ! " Mais tu as s'en doute raison...
Boris 6p: Comment ça m'entendre ?!?!?
Viam-Jork, qui semble être légèrement absent: Heu j'ai... Hummm... heu...
Jésus, d'une voix forte: Viam-Jork ! Hey ! Vient ici ! Ya hannibale qui a besoin de toi !

(Wow ! Qu'elle justification )
Jésus était au loin et fesait signe à Viam-Jork de s'approcher. Viam respira un bon coup et salua Eva de la main.

Viam-Jork: Et bien, va falloir que je reparte ! Aller, à plus vieille. On s're jase ça plus tard... Heu... Tient... J'te donne un canaceon ! Arf, arf, arf !

Puis Viam parti d'un pas rapide vers Jésus laissant Eva avec les reines du cheval...

- hé c'est qui la vieille? ho Viam attends !!!!!!

Eva resta surprise...

- Hé bha dis moi, il s'en fait pas lui heureusement qu'il est parti, mais ca se passera pas comme ca je suis pas sa bonniche non plus ...

Eva s'occupa donc du cheval qui s'avera charmant, elle décxida de l'amener voir Galina qui serait ravie de s'en occuper...

(Boris est dans la tête de Viam-Jork donc, seulement lui peu l'entendre. Les écritures en bleu sont les réponses que Viam-Jork dit à Boris, mais dans sa tête. )

Viam-Jork : La voilà, enfin !
Boris 6p : Yaaa ! Regarde, un nid plein de poule qui ne fait que nous attendre ! Des vaches, qu’on va pouvoir broutter !
Viam-Jork : Tu penses encore à ça toi ? En fait, à part violer, fourrer, martyriser les femmes, à quoi tu penses d’autre ?
Boris 6p : À te foutre une baffe le long de la geule, connard !
Viam-Jork : Mouais…
Boris 6p : J’pense aussi à cette poufiasse à laquelle tu rêvais. Celle avec les bottes de cow-boys qui se déchaînaient tel une damnée ! Celle, qui d’une intelligence peu commune pour le sexe faible, avait dans les mains des pichets de pastis ! Celle, qui par la courbe de ses chances, me faisait bander au point que je manquais de m’aveugler ! Rien ne battait ce qu’elle faisait avec son chapeau quand…
Viam-Jork : C’eeeest beau ! On a comprit ! T’es un taré tu savais ?
Boris 6p : Et c'est celui qui m’entend qui dit ça ! On aura tout vue sacrament !

Salem commençait à apparaître au loin, pierre par pierre, alors que le soleil était sur le point de disparaître derrière les dunes. Le froid devenait de plus en plus intense au fur et à mesure que l’hiver s’installait dans le désert. Viam avait même eu une peur bleu lorsqu’il avait découvert son dernier cadavre… Il était figé, en boule, au pied d’un cactus. Il avait un bras tendue vers sa gourde qui, après vérification, était vide… Il l’a enterré et a continué sa route, sans verser de l’arme pour cet étranger.

Une route qui s’est terminé par la livraison de rations pour les chevaliers errant, Mhyst et Alecc. Ils n’avaient pas prit assez de rations pour venir vers Salem la grande. Jésus lui avait demandé de se rendre à eux afin de pouvoir les aider. C’est sur ce chemin qu’il trouva aussi de l’acier et de la cok. Il en était plutôt fier d’ailleurs !

Maintenant, il avançait vers Salem avec les rations qu’il avait ainsi que des chevaux. Chevaux qui étaient plutôt dure à contrôlé, seul, à l’état sauvage. Il se disait que Deus sera plutôt content de recevoir ce premier voyage... Il avait assez attendue, il n’arrêtait pas de lui dire qu’à force de se tourner les pouces, il avait développé de la corne !

Une dernière dune et voilà que Salem se montrait dans sa pleine splendeur ! Son mur d’enceinte montait au point d’aller chatouiller le ciel ! Le mirador, tour à partir de laquelle l’horizon n’avait plus de secret, s’élevait au-dessus de ce dit mur. À gauche, comme à droite, des tourelles de guet afin de prévenir les esprits plus hostiles que Salem n’était pas un lieu pour eux. Viam-Jork arrêta son cheval et resta pensif un instant. Il avait besoin de voir Salem dans sa globalité. Question d’avoir sa superficie bien incrustée, bien calqué, dans sa mémoire. Lorsque les chevaux se mirent à hennir et piaffé d’impatience, il donna de petits coups de talon dans les côtes de sa jument et il reprit la route. Dans la noirceur et en aillant pour guide, les bruits de la villes…

Rendu aux portes de la ville qui, bien sûr, était maintenant fermer à cette heure, il héla la vigie :

Viam-Jork : Hey ho de la haut ! Ouvrer !
Vigie : J’sais pas… Fait un moment qu’on vous attend…
Boris 6p : C’est qui ce con ? J’vais foutre le feu à sa porte moi !
Viam-Jork : Du calme, du calme… Deus ? C’est toi ? Aller ouvre ! J’me les gèle graves la ! En plus, ya tout ces chevaux qui sont crever et qui attende seulement d’être au chaud sous un toit !
Deus : C’est beau, c’est beau, j’arrive…

Viam entendit l’échelle grincer sous le poids de Deux qui avait dû s’empâter avec le temps… Juste coudre ne fait pas fondre beaucoup de graisse si vous voyez s’que j’veux dire ? Hein, Lise

Viam-Jork dû quand même attendre quelques secondes avant que les portes commencent à s’ouvrit. Lorsque se fut le cas, leurs grincements firent peur aux chevaux qui se mirent à hennir et à taper des sabots. Deus arrivait avec d’autres artisans qu’il avait trillé sur le volet. Il était sur un cheval et donnait des petit ordres rapides en plus de compté les cheveaux…

Viam-Jork : Une vingtaine Deus, une vingtaine de chevaux que je t’ai amené.
Deus : Pas assez, il n’y en aura pas assez !
Viam-Jork : Mais oui, mais oui…Ya Ramone qui arrive avec un autre quantité.
Deus : Mouais… C’est bon… Au fait, bon retour. Il était temps que tu arrives ! Ya tout ces tonneaux qui traînent à la cantine. Pas compliqué, il y a des toiles d’araignées qui y poussent comme les citrons maintenant !
Boris 6p : Crétin… T’avais qu’à te les foutres au cul oui ! Comme ça, avec l’odeur, t’aurais pu faire fuir une troupe de fourmis tellement que tu craints !
Viam-Jork : Tant mieux mon vieux ! Sa veut dire qu’il va avoir prit de la saveur ! Bien hâte d’y goûter moi… Aller, j’dois aller voir Jésus et Deckard avant qu’il soit trop tard… Plutôt, avant qu’il ne dépasse le couvre feu de Lise ! Arf, arf, arf…

**

Viam-Jork était maintenant avec Jésus et discutait de ce qu’il avait trouvé dans le désert et comment le tout pourrait être utile à Salem. De plus, il discuta avec lui du sauvetage des chevaliers errants et des autres visages rencontrés. Après cela, il se dirigea vers la tente de Lise et de Deckard…

Ceux-ci étaient assis devant leur tente. Un feu crépitait devant eux et Lise avait dans ses bras un Jeanne qui dormait à point fermer… Les deux tourtereaux étaient silencieux et ne semblait pas avoir vue ou bien entendue Viam-Jork s’approcher.

Boris 6p : Vieux…
Viam-Jork : Non…
Boris 6p : Si…
Viam-Jork : No… SALUT !

Lise, Jeanne et Deckard sursautèrent et eurent une réaction des plus, comment dire, prononcé… Lise, qui avait les yeux cernés par la fatigue, regardait d’un air assassin Viam-Jork alors que Jeanne, fit voir à tous que son père lui avait légué sa grande capacité pulmonaire et ses cordes vocales. Le père, lui, comme tout bon protecteur de sa marmaille, s’était levé à une vitesse que Viam avait rarement eu l’occasion de voir chez lui. En moins de deux, il était face à lui, les points fermé et l’air menaçant…

Lise : VIAM-JORK ! MAIS À QUOI TU AS PENSÉ !
Deckard : Crétin !
Boris 6p: Mouhahaha (respire) hahasha (respire) haha
Viam-Jork : Ta geule ! Puis, d'un air penaud : Hey ho ! Suis désolé ! Je n’avais pas vue que ce bout de votre chair était avec vous !

Lise regarda un moment encore Viam et rentra sous la tente pour calmer la petite. De son côté, Deckard se calma et retourna se rassir au coin du feu.

Viam-Jork : Elle a des poumons du tonnerre la petite !
Deckard : (Grognement)
Boris 6p : Tu parles d’une chance ! Le tempérament intempestif de sa mère, le babillage de son père ! Un vrai charme cette petite ! Une salope en devenir quoi !
Viam-Jork souriat: Bon quoi ? Tu vas faire la gueule toute la soirée la ? Aller, j’voulais te parler de ce que tu m’avais dit l’autre jour au sujet de…

Ils parlèrent autour du feu pendant un bon moment. Lise était venue les rejoindre mais ne fit pas attention, plus qu’il ne le faut, à la discussion. Elle semblait être dans un autre monde en fait… Parfois, la discussion montait d’un ton, mais jamais au point de réveiller la petite sous la tente. Lorsque la lune fut bien haute dans le ciel, Viam-Jork quitta Lise et Deckard en leur souhaitant une bonne nuit. Il devait aller à la cantine après tout…

**

Lorsqu’il ouvrit la porte de cantine, Viam remarqua qu’il n’y avait vraiment pas grand monde, pour ne pas dire personne… Quoique, en y regardant de plus près, Mandrin était derrière le comptoir et sirotait un breuvage de sa confection…

Viam-Jork : Hey ho ! Mandrin ! Vieux !
Mandrin : Viam ! Dit donc ! Vient ici toi ! Vient me goûté ça ! C’est plus costaud que tu volopom et laisse moi te dire que ce n’est pas mauvais du tout !
Viam-Jork : Bha sartain vieux !
Mandrin : Écoute ça, j’en ai une bonne à te conté ! C’est Eva qui…

**

Boris 6p : Connard ! Tu baves !
Viam-JOrk : Hein ? Quoi ? J’baves ? Je… heins

Viam ouvrit les yeux avec difficulté. Ils étaient collées à cause du froid. Aussi, il avait un peu de bave qui avait gelé sur sa joue. Il s’étira les bras et constata que son cheval l’avait mené en direction de Salem…. Heureusement…. La ville n’était plus qu’à quelques minutes, mais ces minutes seraient interminables avec ce froid persistant…

Viam-Jork : J’ai sérieusement besoin d’un pastis moi…

Boris 6p: Les poignets d'acier... Faut être foutrement tordue pour s'appeller comme ça ! C'est si Lise ferait une philosophie de vie qui se nomerait les mamelles de fer ou bien encore, Hell Haine qui pronerait la ceinture de chasteté ! Moi j'dis que c'est des taré, des putains de tarés ! J'suis sûr qui s'branle entre eux autres pour caché tout leur forfaits sexuels ! C'est pas saint de terrer ces besoins la... Comme toi ça... Foutue bande de taré ! Ya bien juste Deckard qui a comprit de quoi, mais encore... Le con, il l'a enfanté ! Maintenant, il est prit avec la même greluche à la noix ! J'espère qu'elle pompe avec doigté la bécasse ! Pis on parle pas des autres hein ! Bande de poules sans cervelles qui font autant de bruit qu'un troupeau en période de ruth ! Si au moins elles seraient à poiles ! Au moins, on saurait à quoi s'en tenir ! Maaaaaaais non ! La, elles nous feraient un préchi précha sur leur intimité, sur le fait qu'elles ont autant de droit que les hommes à leur intimité ! Patati,
patata ! Blablablabla !

(silence)

HEY ! FOUTAISE ! Tu es seulement une femme ! La seule chose qui te différencie du reste du reigne animal, c'est qu'on peut te la foutre au cul quand tu es debout ! On s'casse pas l'beigne à parler nous ! BOum ! Un coup sec dans l'chocolat, une série de p'tit coup rapide pour vous montrez qu'on pas de temps à perdre, un rhâle, parce qu'on s'est vidés les roubignoles et on passe à l'autre ! Plus on fait de trou, plus c'est mieux ! Vive la diversité ! Toute des garces j'vous dit ! Toutes bonnes qu'à nous servir ! Finni la placotage intempestif ! J'vais vous mettre au pas mes salopes !
Viam-Jork: Woua ! Dit donc, content que tu sois dans ma cervelle !
Boris 6p: Pauvre con ! Tu crois vraiment que j'ai dit ça dans ta cervelle ? Tu penses qu'on est en face de quoi la ?

Viam-Jork ouvrit alors les yeux de surprise. Il était assis devant sa radio alors qu'auparavant, il était à la cantine avec les autres pour discuté des festivités. Tout ce qu'il se rappellait, c'est d'avoir entendue Lou Pey parler du groupe des Poignets d'aciers et après tout est devenue flou...

Boris 6p: Gros cave !
Viam-Jork: Mais qu'est-ce que t'as fait ?!?!?
Boris 6p: J'ai exprimé mon point de vue sur la radio, crétin...
Viam-Jork: Mais, tu peux pas faire ça ! T'as aucun contrôle sur moi !
Boris 6p: Semble que les choses changent mon petit Maintenant, tu feras gaffe à ce que je te dis, sinon, tu vas goûter à quelques taloches mon beau...

Viam-Jork regarda sa radio et trembla légèrement devant ce qui venait de se passer...

Viam-Jork: Va me falloir en parler à Jésus, car je ne pourrai pas le contrôler indéfiniment...

Se dit-il à voix base...