Et il continua ainsi jusqu'à ce qu'il puisse voir cinqu alambics et huit cantines en verres !
Viam-Jork: Jieu de Jieu
Hips J'zuis finnnnni bin
hips raid
hips ! Zé pluz d'alcozzzzz dans l'corzzz qui en za dans l'alamzic
hips !
Boris 6p: Idiot d'ivrogne ! Tu te rends compte que ta bite va être aussi flasque que celle de Wern si il aurait son vrai âge ?
Viam-Jork: Ma zvite
hips z'ra zajmais, zajmais auzi
hips zolle que zelel ddekl asjkl`j
hips !
Boris 6p: Ta geule ! Devrais patir d'ici et mettre le feu partout !
Viam-JOrk: Non ! Zune mine au zrésor
hips !
Boris 6p: Mouais...
Son estomac avait du mal à se stabiliser… Levant les yeux il distingua, alors dans la pénombre, un escalier montant à coté du conduit par lequel il était arrivé. Il prit son élan et se dirigea vers elle. Au niveau de l’alambic, il s’enfargea dans le tissu qu’il avait utilisé pour remplir les vases. Il plongea tête première et se cogna solidement le nez sur le sol.
Viam-Jork : Ouvtch ! Vaudit zêtre zale
hips dze zist !
Il se releva en invoquant tout les Dieux qu'il connaissait. Il se frotta le nez et il se rendit compte qu'il saignait comme si on lui avait ouvert les trippes. Dailleurs, en parlant de tripes sa me fait penser que...
Viam-JOrk: Zoooooooo ! Merde ! Zé quoi ze
hips bor
hips bordel ! J'ai... Hooooooooo !...
Boris 6p: Hahaha ! On dirait que t'as trop fait de mélange, idiot du village !
Viam-JOrk: Hooooo... J'ai... Hoooo... bordel... Faut que...
Viam se mit à courir dans tout les sens à la recherche d'une chaudière ou quelque chose de la sorte. Il fallait qu'il trouve un.. ho ho...
Il n'y a pas de bonne façon pour annoncer ça... Comme, comment trouver des mots pour expliquer cette sensation...
Viam s'arrêta sur place. Ouvrit grand les yeux au même moment que ses intestins lâchaient prises... Durant ce bref instant de relachement total, on parle de seconde ici, il y eu sur son visage des moments de tristesse et de honte comme des moments de pure régal. Il sentit cette légèreter au niveau de l'estomac en même temps que cette pesanteur, et cette douce chaleur, au niveau de ses fesses. Une amère surprise comblé de joie
Boris 6p: Bon ! Je veux sortir ! Il est trop con ! Elle où cette sortie !
Viam-JOrk: Arf,
hips arf, arf... La zortie est déza
hips pleine... Arf !
Boris 6p: Té dégeulasse !
Viam-Jork: Au moins
hips zé pu besoin de zourir !
hips !
Viam toucha son pantalon qui était tout chaud et moue. L'odeur ? Faut pas oublier qu'il avait été dans du fumier auparavant... Donc l'odeur aurait été prononcer pour du monde qui aurait été autour de lui, mais pour lui, rien. Il se gratta la tête et se dirigea de plus belle vers les escaliers. Il n'avait pas remarqué la première fois qu'il y avait une vingtaine de marche avant d'arriver la haut lors de sa première vérification.
Boris 6p: Aller mon merdeu. Il faut monter.
Viam-Jork souria et mit le pied sur la première marche. Vous connaissez l'Evrest ? Rien comparer à ça ! Ce fut une ascension pénible où les fentes dans les marches étaient plus traîtresses encore que les crevasses eneigés de la montagne. Une fois, ou il ne lui manquait que trois marche, il perdit l'équilibre et tomba par en arrière et déboula jusqu'au bas pour tomber sur ses... non... sur le coussin qui recouvrait ses fesses... Imaginer la substile odeur qui lui monta jusqu'au nez, malgré celle du fumier qui le couvrait. Encore, si fertilité il y a dans vos têtes, imaginer l'odeur des deux substances. Renifler, respier, aspirer ce doux parfum... C'EST BEAU ! Suis vert la !...
Cela avait quand même du bon. Il ne s'endormit pas après cette chutte. Au contraire, cela le stimule et il entreprit l'escalade de nouveau. Coeur au ventre, du courage à revendre, il arriva en haut et leva un bras dans les airs, fière de cet exploit digne des plus grand poivrot de ce monde !
Boris 6p: Bon... Crétin un jour, crétin toujours !
Viam-Jork: La ferme
hips ! Ze t'encule pozvre zon... con !
Boris 6p: C'est ça oui... Sort d'ici avant que quelqu'un nous surprenne. Me plairait pas d'habiter un gas qui a la réputation de prendre ses culottes pour une toilette !
Ce qu'il fait sans tarder. Il avait regarder le trou au plafond, mais il décida plutôt de prendre la porte. Plus facile que la vrai escalade. De plus, de l'eau coulait du plafond et il ne voulait pas glisser et se briser le cou ! Il la regarda avec attention. Elle était debout, devant lui, prête à résister à ses moindres assault. Elle semblait être faite dans un bois solide, chêne ou bien encore en érable. Il prit un premier élant mais la porte décida de lui résister par pure malice. Il devait probablement y avoir une serrure mais après vérification, de l'autre côté, un cadenas devait être à son poste de garde. Il se recula, prit un bon respire, question de se donner du courage et s'élança afin de défaire ce nouvel obstacle.
CRACKElle se brisa au deuxième coup et Viam tomba tête première dans le sable qui était mouillé. Il se tourna sur le dos et il serait très fort les dents pour ne pas crier. Son nez était sensible et malgré toute la boisson qu'il avait ingurgiter, il avait terriblement mal ! Àprès un moment, il décida de s'assir et regarda le ciel. En fait, il mouillait à boire debout à l'extérieur. L'eau lui tomba sur le visage et la sensation lui fit l'effet d'un anestésiant... Ou bien c'était la chaleur coller à ses fesses ? Viam haussa les épaules et se leva pour tituber jusqu'à un abri.
Boris 6p: Qu'est-ce que tu fou ? T'as le nez en sang ! D'la bon dieu de merde au cul et toi, comme le bon à rien que tu es, tu vas te cacher sous un porche pour te protéger de l'eau ?!?!?
La main droite de Viam se leva et le frappa derrière la tête !
Viam-Jork: Hips hey hips !
Boris 6p: Aller, à poile du con ! Au moins, tu t'auras mit à poile à quelque part bon dieu d'bon soir !
Viam commença à se déshabiller, se leva le fessier, fit du mieux qu'il pu pour arrêter le sang. Lorsqu'il eu fini, il ne remit pas son pantalon. Il avait dans sa tente, pas très loin d'ici, un pantalon sec qui l'attendait. Son dernier peut-être, mais au moins sans tâche brunatre...
Viam-Jork: Bon dieu ! J'ai encore envvvvvvvvvvvvvvvvvvvvie !
Il parti de nouveau faire un petit besoin...
Le lendemain matin....
Mandrin: Mais qu'est-ce qui s'est passé ici ? Qui c'est qui a défoncer le mur ? Mais... Sa sent le fumier ! Ya quelqu'un qui a été piger dans le fumier ?!?! ENCORE ?!?!
Edit le 28 avril 2005: Oublier de faire dire à Mandrin, suite à :
ENCORE?!?!... C'est quoi ce foutoire... Non... SI... C'est qui le tordu qui a prit ma macération pour libérer les blocages intestinnaux ? Elle était trop forte...